Le big trip de Brolito & Ramutxo

Je suis agréablement surprise des bus péruviens, tv individuelle, service snack et couvertures confortables. Il est 6h30 du matin et une vague de chaleur nous surprend à notre descente. Quel plaisir d’être en tee-shirt et ressortir les tongs. Lionel en a la banane et je le comprends.
Aussitôt arrivés, aussitôt repartis. Nous avons réservé un vol en coucou au-dessus des lignes de Nazca d’une heure. A notre sortie du terminal de bus, un Monsieur nous attend avec une pancarte « Margaux Cabrol » c’est une première pour moi et cela me gêne un peu d’autant plus que je ne l’avais pas vu. J’ai tellement tracé à notre arrivée pour éviter tous les racoleurs, heureusement que Lionel a eu l’œil.
Nous déposons nos sacs à dos à l’agence et passons à la pesée. Je redoute un peu ce moment car je ne me suis pas pesée depuis notre départ, je me sers uniquement de mon short en jeans afin de voir si tout va bien. Et surprise, bonne surprise la balance affiche 54 kgs habillée ! C’est exactement mon poids de départ (en retirant 1 kg de vêtements ah ah ah). Je sens tout de même que mon corps a changé, mes jambes se sont ramollies … Il va vite falloir remédier à cela en rentrant d’autant plus que le 13 avril je m’envole avec mes Zeuhmas d’amour pour la Thaïlande. J’ai vraiment hâte !
Direction l’aérodrome de Nazca en van, je ne suis pas encore bien réveillée après notre nuit dans le bus. D’ailleurs nous ne sommes pas très bavards. Une fois arrivés tout s’enchaîne, nous passons le contrôle (Rémi se fait gentiment retirer un tout petit peu d’herbes que nous avait offert le tatoueur, plus de peur que de mal) et nous voici

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16 Apr 2020

Vol au dessus de l'incroyable

January 08, 2018

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Nazca, Pérou

Je suis agréablement surprise des bus péruviens, tv individuelle, service snack et couvertures confortables. Il est 6h30 du matin et une vague de chaleur nous surprend à notre descente. Quel plaisir d’être en tee-shirt et ressortir les tongs. Lionel en a la banane et je le comprends.
Aussitôt arrivés, aussitôt repartis. Nous avons réservé un vol en coucou au-dessus des lignes de Nazca d’une heure. A notre sortie du terminal de bus, un Monsieur nous attend avec une pancarte « Margaux Cabrol » c’est une première pour moi et cela me gêne un peu d’autant plus que je ne l’avais pas vu. J’ai tellement tracé à notre arrivée pour éviter tous les racoleurs, heureusement que Lionel a eu l’œil.
Nous déposons nos sacs à dos à l’agence et passons à la pesée. Je redoute un peu ce moment car je ne me suis pas pesée depuis notre départ, je me sers uniquement de mon short en jeans afin de voir si tout va bien. Et surprise, bonne surprise la balance affiche 54 kgs habillée ! C’est exactement mon poids de départ (en retirant 1 kg de vêtements ah ah ah). Je sens tout de même que mon corps a changé, mes jambes se sont ramollies … Il va vite falloir remédier à cela en rentrant d’autant plus que le 13 avril je m’envole avec mes Zeuhmas d’amour pour la Thaïlande. J’ai vraiment hâte !
Direction l’aérodrome de Nazca en van, je ne suis pas encore bien réveillée après notre nuit dans le bus. D’ailleurs nous ne sommes pas très bavards. Une fois arrivés tout s’enchaîne, nous passons le contrôle (Rémi se fait gentiment retirer un tout petit peu d’herbes que nous avait offert le tatoueur, plus de peur que de mal) et nous voici

tous les trois assis dans ce petit coucou, le casque sur les oreilles. On se regarde en rigolant, tout est allé si vite. Ni une, ni deux les deux pilotes nous font virevolter dans le ciel, je suis à deux doigts de vomir et ne suis pas la seule. Les premières lignes apparaissent, un condor, un singe, un dinosaure et au loin des reliefs montagneux noirs. Le spectacle est magnifique, j’ai encore du mal à y croire. Les pilotes assurent complètement, les explications sont au top et il y a encore les lumières du lever du jour. Nous revenons sur terre en douceur encore un peu barbouillés. Le van nous ramène à l’agence, nous partons 1 heure 30 plus tard pour la ville d’Ica située à 3 heures de là. Nous voici assis au terminal de bus, une petite salade de fruits entre les mains quand Rémi se rend compte qu’il n’a plus son téléphone. Nous sommes tous un peu fatigués entre la nuit de bus, la chaleur écrasante et le tour en avion. Il se rend rapidement à l’agence afin de le retrouver. Le chauffeur du van le conduit de nouveau à l’aérodrome mais rien. Personne n’a vu son téléphone. Vu son état je ne pense pas qu’on lui ai volé mais aucun signe. Il revient très en colère et je le comprends, ce n’est pas tant pour sa valeur mais plutôt pour ce qu’il y a dedans. Rémi s’était fait le professionnel des photos de situations insolites (câbles électriques par centaines, douche électrique avec fils qui pendent, femme aux chaussures extravagantes …). Et il n’a pas fini de le regretter.

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